Utiliser des huiles essentielles

Pour calmer un mal de tête, vous pouvez vous masser les tempes avec quelques gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée diluées dans une huile végétale. La menthe poivrée dispose de pouvoirs stimulants et tonifiants en plus d’avoir des vertus antispasmodiques. En revanche, elle est déconseillée aux enfants de moins de 12 ans et aux femmes enceintes. Sinon, vous pouvez opter pour une huile essentielle de lavande pure avec laquelle vous pouvez vous masser le front 3 à 4 fois/jour.

Placer une compresse chaud sur la nuque

Il est possible qu’un mal de tête soit causé par une contraction des muscles au niveau de la nuque. C’est souvent le cas lorsque vous êtes stressé ou fatigué. Afin de soulager la douleur, vous pouvez passer une compresse ou un chiffon propre imbibé d’eau chaude sur votre nuque. La chaleur a pour effet de décontracter vos muscles. Ce qui dissipera les tensions dans votre nuque et soulagera votre mal de tête. Veillez à bien essorer le tissu avant de le laisser reposer sur votre nuque pendant quelques minutes. Vous pouvez ensuite répéter le geste autant de fois que nécessaire.

Boire une infusion de gingembre

Les racines de gingembre sont connues pour avoir des vertus anticoagulantes comparables à celle de l’aspirine. Vous pouvez donc vous en servir pour soulager naturellement votre mal de tête. Pour ce faire, il vous suffit d’infuser dans une eau bouillante quelques racines de gingembre fraîches. Ensuite, il ne vous restera plus qu’à boire 2 ou 3 tasses de cette infusion tout au long de votre journée afin de calmer vos douleurs. Si vous utilisez de la poudre de gingembre, comptez une cuillère à café de poudre pour 2 litres d’eau. En revanche, il est déconseillé de donner ce type de breuvage aux jeunes enfants et aux femmes enceintes.

Le stockage et le transport du matériel médical

Votre équipe ne peut pas se promener dans l’enceinte de votre hôpital avec les diverses fournitures médicales. Il lui faut différents chariots pour les transporter. Il y a par exemple celui pour les équipements chirurgicaux et celui utilitaire.

Vous devez également aménager sur les lieux un espace dédié au stockage des médicaments et des pièces essentielles. Là aussi, il vous faut un chariot de stockage servant à déplacer les articles et produits.

Les équipements médicaux longue durée

Votre établissement doit s’approvisionner en équipements médicaux durables. Ils sont utiles pour transporter les malades, pour aider les patients handicapés ou blessés à se déplacer, etc.

Voici une liste non exhaustive des types de matériel que vous devez acquérir :

– Des cannes,
– Des béquilles,
– Des civières,
– Des fauteuils roulants,
– Des déambulateurs,
– Des lits d’hôpitaux,
– Des matelas à pression,
– Et des dispositifs de traction.

Le matériel de diagnostic médical

Ces outils sont utilisés pour diagnostiquer l’état des patients. Vous pouvez les trouver chez des fournisseurs comme AVF Biomédical. Pour plus d’infos sur les produits qu’ils proposent, n’hésitez pas à parcourir leurs sites.

Mais en attendant, voici quelques exemples de pièces importantes de diagnostic médical que vous devez rassembler :

– Des équipements d’échographie et de radiographie,
– Un équipement à rayon X,
– Des pèse-personnes,
– Des Dopplers,
– Des stéthoscopes,
– Des tensiomètres,
– Des oxymètres,
– Etc.

Si vous avez assez de budget, vous pouvez également investir dans des appareils d’imagerie par résonance magnétique. Vous pouvez même acquérir un tomodensitomètre et des électrocardiographes.

Les équipements de survie

Ces appareils sont conçus pour surveiller les fonctions corporelles des patients et pour les maintenir. Parmi ceux-ci, il y a le moniteur patient, le défibrillateur, l’incubateur, le ventilateur médical, le dispositif de dialyse et le pontage cardiopulmonaire.

Les outils de chirurgie

Le matériel servant durant les interventions chirurgicales est également indispensable pour le bon fonctionnement de votre hôpital. Les appareils d’anesthésie, les tables, les lampes, les cautériseurs, les stérilisateurs en sont des exemples.

Pour le personnel intervenant, les blouses, les bonnets, les gants, les lunettes sont nécessaires.

Participez à un séjour jeûne et détox

Pour maigrir en une semaine top chrono, rien ne vaut un séjour de jeûne et détox durant lequel, diverses activités vous sont proposées :
– Le Yoga ;
– La cure de jus et détox végétale ;
– De la randonnée ;
– De la piscine ;
– Des spas et des massages amincissants.

Vous serez encadré par une équipe de professionnels. Les résultats sont garantis.

Suivez un régime

Après votre séjour de jeûne et détox, suivez un régime amincissant. Cette association est efficace pour perdre des calories en une semaine. Toutefois, il est important d’adopter un régime sain pour éviter d’endommager l’organisme. Un conseil, évitez ceux qui vous imposent de longues périodes de privation. Optez pour une alimentation saine et équilibrée tout en diminuant vos rations alimentaires. Les outils pour composer votre repas ne manquent pas. Supprimez momentanément le sucre. Oubliez les collations : contentez-vous de vos trois repas par raison. Pour plus de sécurité, demandez l’avis d’un diététicien avant de vous lancer.

Inscrivez-vous à une session de HIIT

Vous avez terminé avec succès la période de jeûne et de régime. Vous avez brûlé la graisse accumulée à cause de la consommation, entre autres, de boissons gazeuses, de vins et de nourriture grasse. Il est temps de stabiliser votre poids. Pour ce faire, inscrivez-vous à une session de « High Intensity Interval Training » dans une salle de gym. Cette discipline permet de perdre rapidement du poids, grâce à ces exercices. Il ne vous suffit que de 3 séances pour constater les résultats. En parallèle, continuez à manger de manière équilibrée.

Les sessions se déroulent sur 1 h 30, mais il est possible d’aller jusqu’à 2 heures, du moment que votre corps le supporte. Le HIIT est également fortement recommandé aux personnes en surpoids, car le rythme des exercices qui se succèdent varie en intensité : bas-moyen-haut.

Le fonctionnement de l’hypnose dans le sevrage tabagique

Le mode de fonctionnement de l’hypnose dans le sevrage tabagique comme sur https://www.jfhirsch.com/ se déroule en 3 étapes :

. La prise de conscience

Grâce à la voix de l’hypnothérapeute, le patient est amené à se rendre compte de sa faiblesse face aux cigarettes et des dangers de la nicotine. Cette première séance vise également à déterminer les causes de cette envie de fumer, en explorant son subconscient.

. Le changement de perception

Généralement, cette étape est effectuée dès la deuxième séance. L’hypnose permet de changer à 90 % la façon dont le patient perçoit la cigarette. Pour ce faire, le professionnel fera goûter, sentir et toucher au patient, le fruit de ses interdits.

. La modification des croyances

Elle fait suite à l’étape de changement de perception. Dès que l’hypnothérapeute se rend compte que le patient commence à changer de comportement face au fait de fumer, il modifie encore plus sa perception jusqu’à ce que ce dernier ait le tabac en horreur.

Par la suite, il est du choix du patient de continuer à consulter régulièrement ou non.

Les enjeux de l’hypnose tabagique

Cette forme de technique contribue efficacement au sevrage tabagique. Les deux seules raisons pour lesquelles, le résultat sera moins satisfaisant, seraient dues au fait que le patient en lui-même résiste à l’hypnose et que l’hypnothérapeute ne soit pas expérimenté pour faire face à un cas difficile. Pour le premier cas, il est quasiment impossible de changer la perception d’une personne, si son mental ne le souhaite pas.

Que faut-il comprendre du stress ?

Le stress : de quoi s’agit-il ?

Le stress est l’ensemble des réactions de notre organisme face à des événements perturbants, des agressions subites, des pressions ou des situations singulières. C’est donc une réponse normale de notre corps pour faire face à une menace, dans le but de nous protéger d’un danger. Cet état de tension, mentale ou sentimentale, se manifeste alors par une production quantitative d’adrénaline et de cortisol, par une accélération des battements du cœur, par la dilatation des pupilles, et par la contraction des muscles. Ainsi, lorsque la menace (réelle ou perçue) est inopinée, le stress offre la capacité d’y faire face, mais si la situation persiste, le résultat peut être dévastateur.

Le stress : quels sont ses symptômes et ses manifestations ?

Le stress peut déclencher des symptômes psychosomatiques comme des maux de ventre, des vomissements, des diarrhées/constipations, de l’hypertension artérielle, des eczémas ou encore des migraines.

D’autre part, lorsque la situation stressante se prolonge ou devient chronique, le système immunitaire est carrément à plat, l’énergie baisse, et tout cela donne naissance à des symptômes d’angoisse, d’anxiété ou de dépression. Ces derniers se manifestent alors sous forme de troubles du sommeil, d’irritabilité, de manque de concentration, de fatigue permanente, de douleur musculaire, de trouble de l’alimentation, de dysfonctionnement de l’érection, d’addiction à l’alcool ou au tabac, etc.

Le stress : bon ou mauvais ?

Le stress n’est pas forcément néfaste et bloquant. Il s’avère d’ailleurs indispensable pour certaines personnes, car il permet de surmonter les défis du quotidien. À petite dose, le stress peut alors devenir une source de motivation. En effet, il vous maintient éveillé et mobilise vos capacités de concentration, ainsi que vos facultés à résoudre facilement les problèmes. Le stress est de ce fait positif par nature, car c’est l’adaptation naturelle de l’organisme aux situations d’agression. Cependant, tout le monde n’a pas le même seuil de tolérance au stress. Si certaines personnes ont d’excellents mécanismes d’adaptation aux situations stressantes, d’autres, surtout si cette réaction perdure, ont des crises de panique, une dépression ou encore un burn-out.

Quels sont les différents types de stress ?

Il existe différents facteurs de stress, puisque chaque personne appréhende les événements différemment. Les éléments qui l’engendrent concernent alors souvent les relations familiales, les périodes d’examen, l’appréhension d’un événement en particulier, le surmenage professionnel, etc.

Certaines personnes souffrent aussi de stress occasionnel, et d’autres l’endurent durant toute leur vie. Ainsi, il existe différents types de stress, notamment :

• Il y a le stress aigu qui se manifeste par une forme très intense, et qui est provoqué par un événement traumatisant à tendance brève (témoins d’un accident, victime de vol, dispute violente, etc.).
• Il y a également le stress chronique qui est déclenché par des facteurs répétés, prolongés dans le temps, et qui se caractérise par une souffrance constante (enfance traumatisante, environnement de travail, conflit, etc.)
• Le stress épisodique aigu, quant à lui, est associé à des personnalités spécifiques et sujettes à des crises. Ce type de stress touche surtout les personnes à tendance colérique, les personnalités exigeantes, et les relations interpersonnelles problématiques.

Comment combattre le stress ?

Le stress non récurrent peut être utile dans certaines situations et agit comme un signal d’alarme pour le cerveau. Dans ce cas, il permet d’améliorer les performances. Par contre, si le corps est soumis à une alerte constante et un stress sur le long terme, cela peut avoir des effets négatifs sur la santé physique et psychique.

Pour remédier à ce genre de situations, il vaut mieux s’éloigner des facteurs de stress.

Vous pouvez également recourir à des soins énergétiques faisant appel à votre fréquence vibratoire, à la médecine douce pour soulager votre état après un épisode tendu. Il y a d’ailleurs d’autres solutions qui peuvent diminuer efficacement votre stress, et vous pouvez les voir en suivant ce lien.

D’autre part, si la personne développe des troubles anxieux, il est préférable de consulter un médecin, et de suivre une thérapie comportementale et cognitive.

Si vous êtes stressé de manière épisodique, vous pouvez utiliser des méthodes naturelles pour gérer votre stress. Vous pouvez justement pratiquer régulièrement une activité physique. Il est également nécessaire d’améliorer la qualité de votre sommeil, de faire du yoga ou de la méditation, de parler à des personnes proches, et de s’accorder des breaks pour ne pas se sentir submergé.

Ce que vous devez retenir, c’est qu’il ne sert à rien de se tracasser pour tout et n’importe quoi. Vous ne devez pas stresser pour des choses dont vous n’avez pas le contrôle. Si vous ne supportez pas le stress, n’hésitez pas à demander de l’aide, vous en avez besoin.

Qui peut développer plus rapidement le COVID-19 ?

Comme c’est le cas pour la majorité des maladies infectieuses, le COVID-19 touchent davantage les personnes qui souffrent de maladies pré-existantes telles que le diabète, les maladies respiratoires, les maladies hépatiques, l’hypertension, les maladies cardiovasculaires, etc. Cette catégorie de personnes risquent de développer les formes les plus sévères du virus au même titre que les immunodéprimées et les personnes âgées, à partir de 70 ans, voire en-dessous. Malheureusement, des adultes jeunes ont également développé des formes graves du COVID-19. Les enfants de moins de 15 ans sont épargnés par ces formes sévères du virus, mais ils peuvent être porteurs du virus et le transmettre.

Que faire en cas de symptômes du COVID-19 ?

Si jamais l’un des membres de votre famille présente des symptômes du COVID-19, sachez que le traitement, jusqu’ici, est symptomatique. Cela veut dire qu’il vise à atténuer les symptômes uniquement, hélas. Le malade recevra des médicaments pour faire baisser la fièvre, pour soulager le rhume ou la grippe. En cas de forme grave du virus, le malade peut recevoir des antibiotiques ou s’il est en détresse respiratoire aiguë, être mis sous assistance respiratoire. Le remède qui guérit du COVID-19 n’est pas encore disponible à ce jour.

Préoccupez-vous de votre santé

Un jour ou l’autre, vous reprendrez le chemin du boulot, vous allez replonger dans votre train-train, avec peut-être plus de pression pour compenser ces longues semaines d’absence et alors, vous avez intérêt à être en bonne santé. Ce qui veut dire que, c’est maintenant, tous les jours que vous devriez veiller à votre santé. Que faites-vous concrètement pour l’entretenir ? Vous le savez, si vous êtes bien dans votre corps, vous vous sentirez bien dans votre esprit. Il est inutile d’en rajouter au problème ambiant, ne pensez-vous pas ? Alors, oui, prenez soin de votre santé.

Ce que vous devez faire pour rester en bonne santé

Il est important d’adapter votre alimentation avec cette brusque sédentarité, autrement dit, réduisez les quantités que vous consommez et autant que possible, préparez vous-même vos repas. Faites le plein de vitamines en mangeant des fruits et légumes chaque jour, et mangez frais. Occupez vos journées en commençant par exemple des projets et passions auxquels vous avez toujours rêvés. Faites des exercices même si c’est assez exigu chez vous, ce doit être possible. Restez en contact avec vos amis, sur les réseaux sociaux, communiquez des idées positives, tout cela favorise une bonne santé.

Les bienfaits d’une bonne hydratation

Comparée aux autres breuvages, l’eau est un liquide neutre. Il a pour principal rôle de nettoyer le corps de toutes les toxines et composantes dont il n’a pas forcément besoin. En buvant une bonne quantité d’eau par jour, on peut constater que l’urine devient plus claire ce qui est synonyme de bonne santé physique. Il est aussi important de préciser qu’un manque d’eau peut entrainer certaines pathologies.
Cela est principalement le cas des calculs urinaires. Une urine trop condensée en calcium et en oxalate peut provoquer des infections désagréables et douloureuses. Et cela est dû au manque d’une bonne hydratation. Pour les personnes qui mangent une grande quantité de sucres, de graisse et de sel, boire suffisamment d’eau est essentiel.

Choisir le type d’eau à boire

Adopter le réflexe de boire une quantité d’eau suffisante d’eau par jour se fait par habitude. Au début, il est certain qu’il faudra se forcer un peu pour y arriver. Certaines personnes pratiquent même une cure d’eau pour être sûres de s’hydrater correctement.
Tous les types d’eau sont conseillés à boire. Que ce soit l’eau du robinet, l’eau minérale ou encore l’eau de source. Le plus important, c’est de faire attention à ce que cette eau ne soit pas trop salée pour permettre au rein de bien la filtrer. Il est donc essentiel de prendre plusieurs verres d’eau au cours de la journée, mais surtout au réveil et au coucher.

Alliés du calcium

-Vitamine D: Aussi appelée «vitamine soleil», la vitamine D est la meilleure amie du calcium. Lorsque votre corps détecte le calcium, une hormone envoie un message à vos reins pour activer la vitamine D. Ensuite, la vitamine D prend soin du calcium ! Il aide à faire passer le calcium dans les intestins afin qu’il puisse être absorbé et déclenche la circulation du calcium qui a été enfermé dans les os. Vous devriez recevoir 600 UI de vitamine D par jour du soleil, des suppléments ou des aliments comme les œufs, le poisson gras, le fromage ou les laits et les céréales enrichis.
-Lait écrémé: Vous n’avez pas besoin de croître votre choix de lait pour obtenir plus de calcium. C’est parce que le calcium dans le lait est séparé de la graisse. Cela signifie que le lait écrémé a une concentration de calcium plus élevée que le lait entier, car la partie qui ne contient pas de calcium – la graisse – a été éliminée. Alors, optez pour du lait écrémé ou non gras pour obtenir plus de calcium pour votre argent.
-Fruits et légumes: Manger des aliments riches en fruits et légumes est une bonne idée en premier lieu, mais cela augmente également votre absorption de calcium. Lorsque votre corps digère et métabolise les fruits et les légumes, votre corps produit du bicarbonate, ce qui réduit la perte de calcium.

Ennemis du calcium

-Caféine: Pour certains, la crème mélangée à leur café du matin peut être le seul calcium qu’ils consomment en une journée. Mais la caféine contenue dans le café pourrait vous coûter 2 ou 3 milligrammes de calcium. C’est vrai, ce n’est pas beaucoup de milligrammes, mais cela peut commencer à s’accumuler – quelques tasses de café ici, une boisson gazeuse contenant de la caféine, un thé le soir. Surtout si vous êtes à risque de perte osseuse, envisagez de réduire votre consommation de caféine.
-Alcool: Pour absorber le calcium, vous savez que vous avez besoin de vitamine D. Pour que la vitamine D puisse agir, votre foie doit convertir celle-ci en sa forme active. Malheureusement, l’alcool peut interférer avec ce processus. La quantité d’alcool nécessaire pour affecter votre taux de calcium n’est pas claire, mais la modération est probablement la meilleure approche pour la bière, le vin et les spiritueux.